En costume de Vannes à Argenteuil
Pour le défilé Paris-Breizh à Argenteuil, j'ai porté mon nouveau tablier de Vannes avec un châle en velours brodé
D'après sa longueur et l'absence de poches vestigielles, je pense que ce tablier date des années 1930. Ses broderies sont un peu usées car il a du être beaucoup porté, mais il demeure plutôt beau.
J'avais un peu peur de la pluie qui n'est clairement pas recommandée ni pour les coiffes ni pour les costumes en velours, mais il n'a pas plu et le défilé s'est bien passé. Il a seulement fallu gérer les fichus parapluies que l'on avait emportés par précaution et qui, faute de nous servir, nous ont bien embarrassés.
En fin de défilé, je me suis faite photographiier par Annie, une amie du Cercle de danse, par plaisir et aussi pour pouvoir apprécier la manière dont j'arrivais à porter la guise.
Je m'étais entraînée sur mannequin, mais sur moi, c'est une autre affaire !
J'arrive maintenant à mieux brocher un châle et je suis arrivée à disposer à peu près correctement mon nouveau châle brodé qui oblige à une parfaite symétrie pour que le résultat ne soit pas vilain au niveau des motifs brodés apparents.
En revanche, j'ai toujours des difficulté à bien fixer la guimpe. Soit elle glisse de guingois, soit elle est trop haute ou trop basse. Là, je l'avais fixé sur un tee-shirt. Cela allait bien sur le mannequin, mais sur moi, ce n'était pas encore au point.
(Cliquez sur les images pour les agrandir)
Je portais aussi une nouvelle coiffe avec de fort belles dentelles. Elle était très fortement amidonnée, ce qui était plutôt très bien compte-tenu du temps humide, mais, au moment des assayages, j'avais prédisposé le pli de devant trop loin.
De ce fait, ma coiffe apparaissait trop courte. A moins que ce soit mon chignon ai ait été positionné trop bas. Il n'y avait qu'un seul grand miroir pour tout le monde dans les toilettes pour se préparer.
C'est encore un point à revoir tranquillement à la maison, et sur la bête, pas sur une tête !
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